Est venu le temps des restants. L’autre rive du départ soudain. Clap de fin un samedi de presque février. Ouverture des soldes. Le passage des symboles a installé sa caravane, quelques heures durant, quelques heures seulement, et il a refermé son cirque.
Les maisons demeurent. Avec, dedans, les quotidiens qu’on y niche.
D’autres noyades, dans d’autres effluves.
Des mégots à n’en plus finir.
L’énigme demeure et en même temps, peu importe l’histoire et sa chute en ces temps de tout de suite la suite. Ce n’est déjà plus l’heure de la bouche dégoût. C’est encore celle des pleurs. Il fait mou. Il fait torve, devant la désuète immensité qui tend déjà grands ses bras d’échalas.
Tout de suite la suite mais quelle suite ? Quel épisode de quelle série ?
Quand se taisent violons, le tempo se poursuit, inlassable, amputé d’un côté, bientôt nourri d’autres ruisseaux de l’autre.
Un silence longe les routes.
Ambiance sonore